Alaska – Le printemps des oiseaux

En montagne, nous avons passé beaucoup de journées à tenter de photographier le Lagopède alpin (image 2), sans succès. De toute évidence, le gallinacé est chassé en abondance puisque la distance de fuite est de plusieurs centaines de mètres. Finalement, non sans peine, nous avons pu surprendre un mâle en pleine mue printanière, au lever du soleil, soit à 4h58 ! Dans la toundra alpine, nous nous sommes concentrés sur le Lagopède des saules (image 1), le Bruant à couronne dorée (images 4 à 6), le Bruant à couronne blanche (image 7) et sur le Phalarope à bec étroit (images 10 à 14). Dans les zones buissonnantes, nous avons eu la chance de photographier la Paruline jaune (images 8 et 9), un petit passereau typiquement américain, pas plus gros qu’une mésange. En bordure des lacs, nous avons consacré de nombreuses heures d’affût afin d’immortaliser les splendides Plongeon imbrin (images 18 à 21) et Plongeon du Pacifique (images 22 et 23), malgré des conditions lumineuses souvent difficiles à gérer. Sur les rives de certaines rivières, le Cincle d’Amérique (images 29 et 30) nous a donné de bonnes opportunités afin de compléter ce que nous avions réalisé en automne 2024. Dans les régions côtières, nous nous sommes concentrés sur la Sterne arctique (images 15 à 17) et sur certaines espèces de limicoles comme le Gravelot semi-palmé (image 32), le Bécasseau d’Alaska (image 31) et le Chevalier errant (images 33 et 34). Enfin, dans les prairies avoisinant les bords de mer, nous avons été charmés par la Grue du Canada élevant ses petits (images 27 et 28) et le Bruant des prairies déambulant parmi les lupins d’Alaska (images 35 et 36).